Situé à Salaberry-de-Valleyfield
Aide financière d'urgence de 25 000$ remise à Justice Alternative du Suroît
L'organisme Justice Alternative du Suroît situé sur le Chemin Larocque à Salaberry-de-Valleyfield, vient de recevoir une aide financière d'urgence de 25 000$. Cette somme lui a été octroyé par la vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique Geneviève Guilbault.
Ce montant provient d’une enveloppe d’urgence totalisant deux millions de dollars qui est destinée aux organismes communautaires et aux centres urbains pour soutenir les milieux face aux défis vécus en contexte de pandémie.
En conférence virtuelle lundi dernier, Geneviève Guilbault s’est entretenue avec la directrice générale, Isabelle Brisebois, ainsi qu’avec le député de Beauharnois, Claude Reid.
« Cette somme additionnelle de 25 000 $ démontre que ma collègue Geneviève Guilbault ainsi que son ministère travaillent pour appuyer les partenaires du réseau. Je suis fier d’avoir pu accompagner l’organisme dans ses démarches. Après une contribution extraordinaire de 6 500 $ de la part de plusieurs ministères du gouvernement, dont le ministère de la Sécurité publique, à la campagne postincendie de son projet Atelier Boutique Cré-Actions, cela représente un bon coup de pouce à sa mission globale », précise M. Reid.
« Ce soutien financier arrive à point et nous permettra de bonifier les heures d’interventions auprès des jeunes qui en ont bien besoin en ce moment », indique pour sa part, Isabelle Brisebois, directrice générale, Justice Alternative du Suroît.
Ces sommes ont aussi pour objectif d’appuyer les efforts de concertation des diverses actions mises en œuvre pour joindre les populations en situation de vulnérabilité.
Le ministère de la Sécurité publique peut compter sur un réseau de partenaires en matière de prévention dont les compétences permettent une intervention directe auprès des personnes dont la sécurité est compromise. En cette période marquée par l’incertitude, le gouvernement, par ce financement supplémentaire, souhaite renforcer l’expertise et le savoir-faire de ces organismes afin de prévenir les difficultés de cohabitation potentielles ainsi que les regroupements qui affectent le sentiment de sécurité de la population.
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