PANDÉMIE- COVID-19
Trois cas confirmés de plus dans les RPA de la région sous surveillance
Au total, 16 cas sont répertoriés à la Résidence Quatre Saisons- Bellerive, soit deux de plus que dans les derniers jours, ce qui représente 10 % des gens qui y habitent.
Selon les récentes données rendues publiques, c’est maintenant 14 résidents de La Résidence Beauharnois qui combattent actuellement ce virus, soit un de plus que dans les derniers jours, pour un total de 22% des aînés qui y habitent.
En date du 30 avril en après-midi, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec a mis à jour la liste des CHSLD et des RPA où la situation en lien avec la COVID-19 est toujours sous surveillance. Dans la région, on note trois cas supplémentaires dans deux des résidences qui y figurent.
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La Résidence Quatre Saisons, située sur la rue Académie à Salaberry-de-Valleyfield, où la situation est la plus préoccupante n’est pas touchée par cette augmentation des cas. L’établissement est toujours classé dans la catégorie rouge, ce qui signifie que le milieu de vie compte plus de 25 % de ses résidents infectés. Au moment d’écrire ces lignes, 25 personnes y résidant ont reçu un diagnostic positif.
La hausse des cas est remarquée dans les deux autres RPA, soit la Résidence Beauharnois et la Résidence Quatre Saisons-Bellerive de Salaberry-de-Valleyfield. La première des deux est catégorisée sous l’onglet « orange », ce qui signifie qu’entre 15 % et 25 % de ses résidents sont atteints de la COVID-19. Selon les récentes données rendues publiques, c’est maintenant 14 résidents de l’endroit qui combattent actuellement ce virus, soit un de plus que dans les derniers jours, pour un total de 22% des aînés qui y habitent.
À la Résidence Quatre Saisons- Bellerive qui fait partie de la catégorie « jaune », soit celle où 15 % et moins des résidents sont infectés, on enregistre aussi plus de cas positifs. Au total, 16 cas y sont répertoriés, soit deux de plus que dans les derniers jours, ce qui représente 10 % des gens qui y habitent.
Enfin, soulignons qu’au moment d’écrire ces lignes, il n’a pas été possible de rejoindre les dirigeants de ses résidences afin d’obtenir leurs commentaires sur la situation touchant ces milieux de vie.
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