Salaberry-de-Valleyfield
Revenus de 277M$ pour l'émission de permis de construction en 2018 et 2019
Effervescence. Voilà le mot qui a marqué les années 2018 et 2019 de la Ville de Salaberry-de-Valleyfield. Au cours de ces 24 mois, le Service de l’urbanisme et des permis estime la valeur des permis de construction émis à 450 millions de dollars, soit 173M$ en 2018 et 277M$ en 2019.
Il s’agit d’un bond important compte tenu que pour la moyenne pour les six années précédentes, soit de 2011 à 2017, tournait autour de 80 M$. « L’attractivité de Salaberry-de-Valleyfield atteint des proportions inégalées. Les gens d'un peu partout choisissent de déménager chez nous et d'y investir. Peu importe ce que certains aimeraient croire, nous sommes devenus une locomotive économique et ce sont les contribuables qui en bénéficieront dans les prochaines années », précise le maire, Miguel Lemieux.
Un boom résidentiel
Sur le plan du développement résidentiel, les données font état de l’arrivée de 973 nouveaux logements sur le territoire de la municipalité durant ces deux années. Pour appuyer ce boom résidentiel, la municipalité s’est classée au second rang parmi toutes les villes du Québec pour la croissance des ventes résidentielles, et ce, lors de deux trimestres consécutifs en 2019.
« La croissance rencontrée provient réellement de tous les secteurs d’activité, que ce soit le résidentiel, le commercial, l’industriel ou l’institutionnel », a confirmé Martin Pharand, directeur du Service de l’urbanisme et des permis.
À titre comparatif, voici les valeurs des permis émis dans quelques municipalités du Québec:
Drummondville (78 345 habitants): 245 M$;
Victoriaville (47 516 habitants): 94, 7M$:
Saint-Jean-sur-Richelieu (98 036 habitants): 175 446 000M$;
Salaberry-de-Valleyfield (42 410 habitants): 277M$.
« Ces chiffres sont la preuve indéniable de l’incroyable pouvoir d’attraction de notre municipalité. De plus en plus de gens font le choix de s’établir chez nous et d’y investir. Cette vitalité économique contribuera à nous créer une marge de manœuvre nous permettant d’offrir de meilleurs services et de réinvestir dans nos infrastructures en minimisant l’impact sur le portefeuille des contribuables », conclut M. Lemieux.
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