Liée à des dossiers de leurre informatique
Le SPVM recherche des victimes potentielles de Tanisha Samuels
Au cours des derniers jours, le Service de police de la Ville de Montréal a épinglé Tanisha Samuels, 20 ans. Celle-ci est impliquée dans des dossiers de leurre informatique qui se sont produits au cours de l’été 2017. L’unité Exploitation sexuelle, volet pornographie juvénile et leurre du SPVM recherche des victimes potentielles.
La suspecte a été arrêté le 12 décembre dernier dans la région d’Harrowsmith en Ontario.
Mandat d’arrestation
La prédatrice sexuelle faisait l’objet d’un mandat d’arrestation concernant des infractions de leurre, de rendre accessible du matériel sexuellement explicite à une personne âgée de moins de 14 ans, d’incitation à des contacts sexuels, d’accéder, de produire et de posséder de la pornographie juvénile.
Trois pseudonymes
Mme Samuels a commis l’ensemble des infractions reprochées au cours des derniers mois dans la région Ouest de Montréal, où elle résidait.
Elle ciblait principalement les jeunes filles de 1er cycle du secondaire. Elle est notamment entrée en contact avec une jeune victime en se faisant passer pour un garçon de 15 ans dénommé Sam Johnson.
Lors des conversations virtuelles, elle a commis plusieurs infractions en demandant à la victime de faire des victimes de faire des vidéos et des photos à caractères sexuels.
Elle utilisant trois pseudonymes lors de ces méfaits, soit Sam Johnson sur Instagram, [email protected] sur Imessage et Mattix iesha crip gang sur Facebook Messenger.
Remise en liberté
Ayant comparu hier en après-midi, elle a fut gardée détenue et reviendra en cour aujourd’hui pour son enquête sur remise en liberté.
Tanisha Samuels mesure 1m73 (5’8’’) et pèse 63 kg (140lb), Elle avait le dessus des cheveux frisés et teints blonds lors des faits reprochés. Elle a un tatouage avec l’inscription « Hope » sur l’avant-bras gauche.
Toute personne qui aurait été victime ou qui connaît quelqu’un qui aurait pu être victime de Tanisha Samuels est invitée à se rendre au poste de police de son quartier ou à communiquer avec le 9-1-1 afin de déposer une plainte officielle.
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