Virage écologique dans les rites funéraires
De nos jours, l’empreinte écologique que nous laissons aux futures générations a de plus en plus d’importance dans tout ce que nous faisons. Il en est de même pour les rituels funéraires. En effet, il y a plusieurs façons de diminuer son empreinte écologique, même dans ce domaine.
Pour ceux qui choisissent l’exposition, il est possible de procéder à une thanatopraxie (embaumement) avec des produits plus écologiques que le formaldéhyde, qui sont considérés cancérigènes pour les vivants et qui peuvent contaminer le sol lorsque le corps est inhumé.
Pour ce qui est du cercueil, il est possible d’en choisir un qui est écologique, pratiquement exempt de métal et fait de bois issu de forêts écho responsable. Leurs fini est réaliser à l’aide d’huile naturelle qui ne contiennent pas de produits toxiques, leurs tissus et rembourrage sont faits de fibres naturelles, non blanchies. Si la famille opte pour la crémation, il est possible de choisir un contenant de crémation qui est écologique, c’est-à- dire qu’il est composé de fibres de bois recyclées par exemple.
De plus, certains crématoriums, dont celui de J. A. Larin & fils inc, utilisent un système électronique pour réduire l’utilisation de gaz naturel, ainsi que pour diminuer les émissions provenant du four crématoire. Pour ce qui est des urnes, il est possible de choisir un modèle qui est biodégradable. Ceux-ci sont composés de gélatine, de sable, de sel, ou de coton.
Au-delà de ces éléments de disposition, si la famille choisit de faire une réception après les funérailles, il est possible de choisir de ne pas utiliser de vaisselle jetable, pour réduire la quantité de déchets.
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