Exit les résidus verts
Retour de la collecte porte-à-porte du printemps à Salaberry-de-Valleyfield
Bonne nouvelle pour l’environnement à Salaberry-de-Valleyfield. La Ville avise ses citoyens du retour de la collecte porte-à-porte du printemps dès le 27 avril. L’initiative se répétera les 4, 11 et 18 mai afin de composter au lieu d’enfouir les résidus verts.
Cependant, il sera important de respecter certaines consignes pour assurer une collecte efficace et optimale.
Qu’est-ce qui sera accepté dans cette collecte? Citrouilles, feuilles, gazon, herbe, terre noire, aiguilles de conifères et résidus de taille de haies, copeaux, sciure de bois et petites branches ficelées en petits ballots de bois de 1 mètre (3 pi) sont acceptés sans limites de quantité. Ces matières doivent être mises en bordure de rue avant 7 h le matin.
« Pour que les matières soient ramassées, il faut utiliser des contenants spécifiques, soit des poubelles réutilisables de 125 litres maximum et bacs roulante, identifiés par un grand V ou un autocollant « Résidus verts seulement », disponible à l’Hôtel de ville ou au comptoir des requêtes à la Gestion du territoire », précise la Ville par voie de communiqué.
Ces contenants sont nécessaires afin de ne pas contaminer la collecte verte, dédiée au compostage, avec celle des déchets aussi collectés le vendredi. Des sacs de papier brun (kraft) ou de plastique transparent, orange ou bleu peuvent aussi être utilisés à cette fin, bien que les bacs et poubelles réutilisables demeurent la meilleure option.
Autre solution
Une autre option peut être considérée par les Campivallensiens pour se débarrasser de leurs résidus verts. Il est possible de les apporter à l’Écocentre du mercredi au dimanche jusqu’au 30 novembre. Ce service est gratuit et sans limites de quantité.
« Bien entendu, la meilleure solution reste de disposer des résidus verts sur place, à domicile, par le compostage domestique ou par la pratique de l’herbicyclage pour la santé des terrains », ajoute la Ville.
Cette façon de faire permet de retourner au sol de 30 % à 50 % de ses besoins en azote. En nourrissant les organismes responsables de la fertilité naturelle des sols et en y maintenant un haut taux d’humidité, on diminue l’utilisation des engrais et de l’eau.
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